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Accueil Étudiant TD Analyse « Le confort ou la démocratisation du bien être en question » de Lionel Engrand

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Type de data

> TD

Cible

> Étudiant

Domaine institutionnel

> ARCHITECTURE

Auteur

> Erika Corbi, Camille Daulouede

Tiers de rattachement

> ENSA Paris Belleville, sous la direction Dimitri Toubanos

Année de conception

> 2016

Localisation

> Paris (75)

> Latitude : 48.87481649999999

> Longitude : 2.3741867999999613

Thématiques

> confort

> habitat

Comment le traitement de l’insécurité peut-il améliorer le confort de l’Homme au sein du logis ?

Domaine Programmatique :

Habitat.

Statut :

Terminé.

Suite à l’étude, deux concepts se sont donc établis et permettent d’illustrer la notion d’insécurité.
Le premier regroupe les di érents seuils à franchir pour que l’homme se sente en sécurité face au danger et le second décrit les cinq phases du cycle de vie d’un bâtiment et les dangers que chacune d’entre elle engendre.

Ce schéma met en relation les deux concepts. En e et, les di é- rentes phases de danger peuvent, selon nous, se situer dans les di érents seuils décrits.
La prospection a un risque de danger assez faible et il est en lien avec le seuil de l’urbain au bâtiment . C’est lors de cette phase que le bâtiment est appréhendé dans son contexte urbain.

Le taux de risque depuis la conception à la constructon augmente fortement. Ces phases sont en lien avec le seuil public/privé car on y determine les systèmes d’accès et de sécurité, et le travail est à une échelle réduite.

En n, la phase d’exploitation comporte, de notre point de vue, un risque élevé qui se développe sur le long terme. Elle concerne prin- cipalement l’usage des lieux d’habitation et est donc en lien avec le seuil privé/intime.

La manière dont l’insécurité est traitée induit donc la qualité du confort de l’individu.

Cependant, dans les deux cas, des questions peuvent se poser.

Comment l’architecte in uence t’il le passage du seuil ? A travers quel moyen ? (Matérialité, dimension, sensation, ressentis…)

La passivité de l’homme provoque t-elle l’allongement des phases de vie d’un bâtiment? Celui-ci est-il source de danger ?

Après lecture des di érents textes traitant de la notion de confort, notre choix s’est porté sur le texte de Lionel Engrand, d’une part par la façon dont il traite le sujet mais aussi pour enrichir nos connaisances suite à son cours suivi en licence 2.

Dans son texte, celui-ci introduit le sujet de la sécurité et après ré exion, nous avons essayé de poursuivre sa pensée en problématisant cette notion avec celle du confort.
Nous avons axé notre pensée autour de la question : «Comment le traitement de l’insécurité peut-il améliorer le confort de l’Homme au sein du logis ?»

Nous avons réalisé une constellation qui regroupe des mots du texte mais aussi des notions en lien avec le danger et l’homme.
Au cours des Td, nous avons formulé deux hypothèses qui peuvent répondre à cette problématique et nous les avons conceptualisé.

Cela a été la partie la plus di cile pour nous, mais aussi la plus intéressante, surtout la façon dont maté- rialiser une pensée.
Cela nous a aussi engagé à chercher di érentes réferences pour appuyer notre propos et donc élargir notre culture.

Ce travail nous a fait prendre conscience de l’importance de chaque phase du cycle de vie d’un bâti- ment et des conséquences qui en découlent si leur traitement est négligé.

Le travail de mise en relation entre pensée, texte et image est, selon nous, un bon exercice qui peut totalement se transposer dans le cadre du projet architectural.

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